Travailler de chez soi : 12 idées intéressantes

Travailler de chez soi est un luxe pour certaines personnes, un vrai cauchemar pour d’autres. Si vous commencez à nous suivre ou si vous avez l’habitude de nous lire, cela signifie certainement que vous rêvez de travailler en ligne. À ce propos, il est important de bien différencier le job en ligne du web entreprenariat : on peut tout à fait avoir un télétravail tout en restant salarié ! Mais Celles qui Osent est un blog axé sur le web entreprenariat au féminin, je vous propose donc de découvrir 12 idées pour travailler sur internet et devenir votre propre patronne !

1 – La Rédaction Web pour travailler à domicile

Je n’ai pas pu m’empêcher de vous proposer la rédaction web comme premier choix ! Ce métier m’a permis d’entreprendre sur le web et de changer radicalement de vie. Devenir rédacteur web à domicile a complètement révolutionné mon quotidien… avantage non considérable, il offre le luxe de pouvoir travailler chez soi sans diplôme (si, si).

C’est quoi un rédacteur web ?

Une rédacteur web est une personne qui rédige des textes à la place des blogueurs, entrepreneurs, marques et autres professionnels dont la présence en ligne est importante. Cela vous étonne peut-être, mais la plupart des contenus que vous lisez sur Internet ont été rédigés par des auteurs indépendants.

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Comment le rédacteur web gagne-t-il sa vie ?

Il existe plusieurs type deux types de rédacteurs : le rédacteur web freelance et le rédacteur web salarié. Le rédacteur freelance est, comme son nom l’indique, à son compte. Généralement enregistré sous le régime de l’autoentreprise, il facture son travail au mot (par exemple, s’il facture 6 cts / mot, cela lui fait gagner 30 € par page Word rédigée). Il peut aussi facturer à l’heure, à la “pige” ou même au forfait (ex : “je rédige 6 articles de blog par mois pendant 2 ans”).

Combien gagne un rédacteur web ?

Le salaire dépend de la qualité de son travail, de sa rapidité et des tarifs qu’il applique ! Généralement, cela tourne autour de 1 800 à 4 000 € par mois, mais certains rédacteurs réussissent à gagner beaucoup plus (mon record : 6 500 € / mois).

Lien vers des formations en écriture digitale

Quelles sont les qualités requises pour ce métier ?

Le rédacteur web doit avoir plusieurs qualités. Déjà, il doit impérativement être curieux, autrement, il s’ennuiera vite ! Une journée de rédacteur web peut ressembler à ça :

Commande du jour :

  • 3 articles psycho-couple de 450 mots
  • 1 article juridique sur le droit à l’image (1 000 mots)
  • 10 fiches descriptives de produit (150 mots chacune) pour Darty.

Si vous n’êtes pas prêt à faire des recherches sur tout et n’importe quoi, passez votre chemin.

Le rédacteur web doit également être irréprochable en orthographe ; laisser traîner des coquilles est impensable quand on veut se lancer dans le métier !

Enfin, il faut avoir envie de travailler de chez soi et être très organisé pour tout gérer (compta, planning, rendez-vous, administration, commandes, etc.). Ce sera d’ailleurs valable pour toutes les web entrepreneuses !

Les différentes évolutions du rédacteur web

S’il est doué en écriture et que son style plaît, le rédacteur web pourra tenter sa chance comme web journaliste sur des magazines en ligne (encore faut-il qu’il en ait envie). S’il décide de se spécialiser comme rédacteur web SEO (ma spécialité, c’est-à-dire rédiger des contenus qui plaisent à l’algorithme de Google et qui aident donc les clients à bien se positionner dans les moteurs de recherche), l’auteur aura un boulevard encore plus large et encore plus long devant lui (et en plus, il gagnera mieux sa vie !).

Vous voulez en savoir plus sur ce métier ? Devenir rédactrice web vous tenterait ? Rendez-vous vite sur : Formation-Redaction-Web.com

2 – L’Infographie pour travailler à domicile

L’infographie a le vent en poupe, et pour cause : il semblerait que nous soyons de plus en plus sensibles à l’esthétisme. Les créateurs redoublent d’originalité pour nous séduire et nous avons peu à peu pris l’habitude du « beau ». Vous souvenez-vous de ces sites affreux que l’on consultait il y a à peine 10 ans ? Il arrivait que les textes soient écrits en gras et en noir, sur fond fushia, avec des fenêtres jaunes qui cligotaient sur les côtés. De quoi attraper des maux de crâne affreux.
Aujourd’hui, les sites sont de plus en plus séduisants et les marques tentent… de se dé-marquer 😉
En bref : on a besoin d’infographistes pour faire :
– des logos ;
– des chartes graphiques ;
– des supports en tous genres (fiches PDF de présentation, encarts de pub, etc.) ;
– et bien d’autres choses…

Alors je ne connais pas bien l’infographie, mais si ça vous intéresse, sachez que notre collègue Emma du blog Ambitions Féminines (et aussi ancienne élève de ma formation en rédaction web SEO « Liberté ») recommande cette formation : Formation en graphisme. Avantage non négligeable, la chance de pouvoir travailler chez soi puisque vous n’avez besoin que de votre ordinateur et d’un bon logiciel de création.

3 – Le Référencement Naturel (SEO)

Aaaah, le référencement naturel… Je dois vous dire (si vous ne le savez pas encore) que c’est mon grand chouchou. Qu’aurais-je fait sans le référencement naturel ? Que serais-je devenue !? 😉
Pour celles qui ne connaissent pas ce terme, le référencement naturel est le fait de travailler un site web (principalement son contenu rédactionnel) afin de bien le positionner dans les résultats de Google. En gros, le but est de faire en sorte de donner envie à l’algorithme de Google de le mettre en avant (c’est-à-dire dans ses premières propositions – idéalement la première page -). Vous voyez, j’essaie de vous expliquer ça avec des mots simples, sans utiliser le jargon de l’expert SEO, autrement, certaines pourraient vite se noyer !

L’expert en référencement naturel facture ses audits et vit (confortablement) de cela. Encore faut-il qu’il soit doué, c’est-à-dire qu’il ait des résultats. On reconnaît un bon expert SEO à son expérience… le tout est donc de réussir à avoir de bonnes références et pour cela, il faut commencer le plus souvent bénévolement.

Pour ma part, ma méthode a été testée et validée puisque tous les sites sur lesquels je travaille obtiennent de bons résultats. Mieux : les rédacteurs web SEO que je forme font des audits, interviennent sur des sites… et obtiennent de bons résultats (yihaaa !). Donc c’est bon (ouf), je n’ai plus rien à prouver. D’ailleurs, je peux prédire sans trop prendre de risque que dans 6 mois, Celles Qui Osent sera très bien référencé sur Google (on parie !?).
–> Vous vous intéressez au SEO ? Rejoignez notre SEO BOOTCAMP gratuitement pour comprendre les bases du référencement naturel.

4 – Le blogging pour travailler de chez soi

Vivre de son blog n’est pas une utopie, loin de là. J’ai moi-même suivi la formation Blogueur Pro d’Olivier Roland, séduite par ses nombreuses vidéos d’études de cas. Quand on voit tous ces blogueurs qui réussissent, on a l’impression de regarder des stars, des artistes ou des personnes qui ont gagné au loto… sauf que NON, le blogging est accessible à peu près tout le monde et il permet de travailler de chez soi sur internet.

OUI, on peut gagner sa vie en faisant un blog (j’en suis encore une fois la preuve) MAIS il faut travailler d’arrache pied. J’ai connu une croissance très sympa puisque j’ai monétisé mon blog en seulement 5 mois, mais cela n’arrive pas à tout le monde, je le reconnais. Mon secret ? J’ai travaillé en moyenne 60 h par semaine sur mon blog (non, je n’exagère pas !) et j’ai rédigé un max d’articles optimisés. Quand je vous dis « 60 h », cela comprend les vidéos YouTube, les partages sur les réseaux sociaux, la modération des commentaires, les paramétrages et tout le reste.

Avoir un blog, c’est gérer une grosse machine qui, si elle prend, vous entraîne bien plus loin que ce que vous aviez prévu. Personnellement, j’ai souvent eu l’impression d’être poursuivie par une énorme vague de Tsunami, je courrais, mais je n’arrivais pas à tout gérer. Je lance aujourd’hui « Celles Qui Osent », en plus de mon autre blog… hum. Suis-je mazo ? Non, je suis juste ambitieuse et je crois dur comme fer que la passion donne des ailes et une force incroyable pour avancer. J’ai envie de créer, de donner vie à mes idées… et je ne compte pas me priver !

Les publicités

Les publicités peuvent vous permettre de gagner de l’argent en ligne. À titre d’exemple, un blog qui draine un millier de visites par jour peut espérer générer 5 € quotidiens de publicités… hum. En gros, vous pouvez gagner 150 € par mois avec un blog que vous avez mis plusieurs mois (ou années si vous n’êtes pas formé au SEO) à créer, en matraquant vos lecteurs avec des pubs. Berk.
À moins d’avoir un blog qui génère des centaines de milliers de visites, les encarts publicitaires ne sont pas rentables ! Next.

L’affiliation pour gagner de l’argent en ligne

L’affiliation est beaucoup plus rentable que la publicité… encore faut-il savoir comment faire !
Pour faire simple, l’affiliation est le fait d’insérer un lien hypertexte sur son blog dans le but de conseiller un produit sympa à l’internaute ET recevoir une commission. Pour vraiment gagner sa vie avec l’affiliation, il faut respecter certains principes :
– proposer des produits chers ;
– vérifier le taux de commission (on laisse tomber en dessous de 10 %) ;
– s’affilier uniquement sur des produits que l’on connaît OU qui ont été recommandés par des personnes fiables (le risque en étant malhonnête est… d’être malhonnête ! et de ne plus recevoir de visites car un client mécontent est un client qui s’exprime et ne revient pas !) ;
– avoir du trafic sur son blog, car pas de trafic = pas de prospects = pas de ventes !

Si vous respectez tous ces points et que vous décidez de créer un blog sur une thématique qui vous tient à coeur (par exemple : le développement personnel) puis que vous proposez les formations en développement personnel de personnes que vous admirez, alors, vous serez plus « crédible » pour les vendre. Vos lecteurs vous feront confiance, surtout s’ils vous suivent depuis longtemps, et ils cliqueront sur vos liens pour acheter leurs formations.
Dans ce genre de cas, il vous suffit de faire une ou deux ventes par mois pour générer le même CA qu’avec de la publicité ! Travailler de chez soi en ligne est donc tout à fait possible grâce à l’affiliation.

La vente de produits numériques

Les blogueurs qui réussissent le mieux (financièrement en tous cas) sont en général ceux qui créent est vendent leurs propres produits. Créer un produit permet non seulement de le vendre soi-même (et donc de gagner 100 % de son prix) mais aussi de proposer de l’affiliation (on gagne un peu moins mais on fait plus de ventes).
La création de produits numériques (formation en e-learning, e-books, fiches de révisions, leçons en mp3, etc.) n’est pas bien compliquée… si vous suivez notre chaîne YouTube, vous verrez que Marie poste régulièrement des tutos gratuits pour apprendre à créer ses propres produits sur le web. Travailler de chez soi n’a jamais été aussi simple !

La vente de produits matériels

Vous pouvez aussi tenir un blog afin de proposer vos propres produits matériels. Imaginons par exemple que votre cher et tendre fabrique des boîtes à musique en bois et que vous vouliez lui donner un coup de main pour sa com’ tout en créant votre propre job en ligne. Dans ce cas, vous pouvez tout à fait créer un blog (bien référencé sur les boîtes à musique en bois, les jouets, etc.) et intégrer des liens vers les fiches produits d’un site e-commerce (c’est très facile à faire !). De cette manière, vous pourrez aider Doudou à avoir une belle notoriété et à vendre ses produits partout dans le monde (note : ne pas hésiter à créer le site en plusieurs langues ;-)).

La vente de services

Dernière idée sympatoche : vendre vos services en ligne ! Il suffit pour cela d’avoir une compétence que d’autres n’ont pas… et de l’échanger contre de l’argent. On trouve ainsi de plus en plus de coaches en ligne, de psy, d’experts SEO, de conseillers en webmarketing, etc. qui proposent des échanges par Skype ou Zoom.us par exemple.
Perso, j’ai démarré avec du coaching en rédaction web par Skype et ça m’a donné une énergie folle pour créer ma formation en e-learning. Je pense d’ailleurs que le coaching en ligne est une étape indispensable avant de créer une formation, cela permet de « rencontrer » ses lecteurs et de comprendre leurs besoins.
Bref. Vous pouvez facilement vendre vos compétences en ligne !

À lire aussi : Changer de vie l De l’utopie à la réalité

5 – L’infoprenariat, la clé de l’indépendance financière ?

Ce mot est encore peu connu et pourtant… il est en train de révolutionner le web ! L’infopreneuriat consiste à créer des formation en ligne afin de pouvoir partager un savoir avec un maximum de personnes. Avantage certain de ce métier : le luxe de pouvoir travailler chez soi (ou ailleurs). Je reprends (vous m’excuserez, hein) l’exemple de mon site Formation-Redaction-Web.com : avant de créer mon blog, je croulais sous les commandes en rédaction web et je n’arrivais pas à former les copines/cousines que ça intéressait. Ma voisine voulait que je la forme, mais je manquais de temps et c’était trop long à expliquer ! En plus, si j’avais perdu mon temps et mon énergie à la former et que ça ne lui avais pas plu… eh bien j’aurais du tout recommencer avec quelqu’un d’autre, et bam, « réexplique exactement la même chose 10 fois » ! J’ai donc eu « l’idée » (lourdement influencée par les précieux conseils d’Oliver Roland) de créer ma formation en rédaction web SEO en ligne : « tu fais ça une fois, tu formes plein de rédacteurs et comme ça, tu n’auras plus qu’à faire les mises à jour ». Et maintenant vous savez quoi ? J’ai plus de 200 élèves qui suivent ma formation et qui travaillent sur Internet ! le tout sans avoir eu à répéter 200 fois les mêmes choses ! Aaaaaah, la magie du web !

Olivier Roland le dit souvent et je trouve son exemple très parlant : Michael Jackson n’aurait jamais pu connaître un tel succès sans l’enregistrement et la diffusion de sa musique à l’échelle internationale. On connaît TOUTES notre cher Michael, pourtant, qui l’a vu en concert ? Presque personne (pour ma part, à mon grand regret…). C’est la même chose avec les formations en ligne : on s’enregistre une fois puis on vend à l’infini.
Vous l’aurez compris, pour devenir infopreneur, il faut en principe avoir un blog (vous verrez, tout se rejoint assez souvent, le tout est de comprendre comment l’ecosystème fonctionne !).

6 – Le coaching en ligne

Le coaching en ligne est également une super opportunité pour travailler de chez soi. Je pense qu’il est inutile de réexpliquer le système : vous créez un site vitrine, vous partagez votre expertise, vous gagnez en notoriété grâce au SEO OU à la pub Facebook OU avec d’autres techniques, puis, vous vendez vos prestations en ligne.
Vous pourrez pour cela utiliser directement des boutons PayPal, Payfacile ou d’autres plateformes. Pour rester libre et être (pourquoi pas) digital nomad, vous devrez prévoir de réaliser toutes vos interventions par Skype (attention au décalage horaire !).

7 – Le journalisme web

Le journaliste n’est pas un rédacteur web, le job est donc différent. Le journaliste va chercher l’info à la source : il fait des interviews, se déplace sur les zones de conflits, approche les personnalités politiques, etc. Le rédacteur web quant à lui se « contente » de trouver des sources fiables (déjà écrites) et il crée de nouveaux contenus à partir de celles-ci. Le rédacteur fait du patchwork tandis que le journaliste fait du point de croix 😉
Si vous avez fait des études de science politique et/ou de journalisme, vous pourrez sans doute créer votre entreprise en ligne et devenir journaliste web. J’avoue que c’est beaucoup moins accessible que le reste, mais ça reste envisageable pour certaines.

8 – Le copywriting, un super job en ligne

Le copywriter ou « concepteur-rédacteur » en bon français, est un rédacteur capable d’engendrer des réactions positives de l’internaute (positives pour le vendeur en tous cas ! haha). Un bon copywriter peut vous faire acheter quelque chose dont vous n’avez absolument pas besoin par exemple (ouh le méchant). Méfiez-vous de lui/d’elle, ses mots peuvent être redoutablement efficaces !

Le bon copywriter gagne très très bien sa vie quand il a de bons résultats. Pourquoi ? Je vous explique tout de suite avec un exemple simple et réaliste :
Un client crée un produit numérique à 2 000 € et fait un « lancement » (il ouvre les ventes ponctuellement) sur 7 jours. Sa page reçoit 500 visites par jour et son taux de conversion (personnes qui achètent après avoir consulté sa page) est de 2 %.
–> En 7 jours, il aura fait 2x5x7x2 000 = 140 000 €
Il engage alors un copywriter de talent qui lui permet d’augmenter son taux de conversion de 8 %, soit 10 %. On refait le calcul :
–> En 7 jours, il aura fait 10x5x7x2 000 = 700 000 €.
Donc autant vous dire que pour de tels résultats, le copywriter peut laaaargement recevoir 5 000 euros (ou bien plus) pour sa page de vente ! Alors oui, il peut y passer plusieurs jours voire plusieurs semaines et faire des retouches… mais c’est quand même très sympa comme job. Non ? Travailler chez soi et gagner de l’argent, c’est quand même sympa.

Si vous cherchez une formation en copywriting, il paraît que celle de Stan Leloup est excellente.

9 – Le webmarketing pour travailler sur Internet

Le webmarketing englobe toutes les facettes de la promotion et de la « séduction » en ligne. Présentation d’un site, personnal branding, story telling, pages de ventes, réseaux sociaux, etc. Le webmarketeur se penche sur tout ce qui peut aider un site à gagner en notoriété et surtout, à vendre.
Le webmarketing éthique est quelque chose qui m’intéresse particulièrement car mon expérience prouve chaque jour qu’on peut tout à fait vendre sans arnaquer, sans « sur-vendre » et sans être agressif. Pour moi, le secret pour vendre est de proposer des produits de qualité et un accompagnement sur mesure. Je suis aussi persuadée que les internautes en ont assez d’être submergés par des promesses non tenues et des investissements perdus. Bon. C’est pas le moment de faire un coup de gueule, mais vous sentez que ça va péter un jour ou l’autre 😉

10 – Le dropshipping, le e-commerce sans stock

Le dropshipping est une technique qui consiste à vendre des produits que l’on n’a pas et surtout, travailler de chez soi. Un e-commerce, sans stock. De plus en plus de web entrepreneurs se lancent dans l’aventure et j’ai hâte d’interviewer des femmes qui ont réussi dans le dropshipping. Perso, je ne suis pas vraiment séduite par ce modèle économique. Je vous en parle dans cette vidéo :

11 – La création d’un site E-commerce

Les sites e-commerces existent depuis la création d’Internet ! Tout comme les boutiques physiques, ils proposent des biens matériels à la vente, à des prix le plus souvent raisonnables.
J’adore les sites e-commerces bien faits car ils permettent vraiment d’aider les entrepreneurs du web et les artisans à proposer leurs produits en ligne, à l’échelle internationale. Les clients sont eux aussi gagnants puisqu’ils ont accès à une large gamme de produits… quelle que soit leur situation géographique ! Travailler chez soi est possible en e-commerce, mais vous serez tout de même contraint de vous déplacer de temps en temps, à moins de tout sous-traiter bien sûr…

12 – La vente d’e-books pour se créer une rente

Je termine avec cette idée que j’adore et que je compte bien expérimenter dans les années qui viennent : la rédaction d’ebooks.
Aujourd’hui, il est tout à fait possible d’écrire un ebook et de le vendre en trois coups de cuillères à pot sur Amazon, La Fnac ou d’autres plateformes (perso, j’essaie de boycotter Amazon…).
L’idée est donc d’écrire des livres électroniques (romans, biographies, manuels en tous genre, conseils, recettes, etc.) et de les mettre en ligne afin qu’ils soient vendus sur des sites connus.
Ce qui est top avec les ebooks, c’est que vous ne faites le job qu’une seule fois : vous rédigez votre contenu, puis, vous le vendez « à l’infini ». C’est donc un bon moyen de se créer une rente (à condition bien sûr que vous rédigiez plusieurs livres et qu’ils aient un minimum de succès). Il n’y a en principe pas de secret : le bon contenu se vend, le tout est de bien écrire et d’apporter de la valeur aux lecteurs. Sans cela, votre projet fera « flop ».

13 – Devenir assistant blogueur pour travailler sur le Web

L’assistant blogueur travaille pour un (ou des) blogueurs professionnels. Sa mission ? aider son client à atteindre ses objectifs. Ce métier est très varié car les missions ne se ressemblent pas. L’assistant blogueur peut s’occuper de l’administratif, de la stratégie du blog, de créer des contenus pour les réseaux, ou encore de développer le chiffre d’affaires.

Ce métier est idéal pour les personnes qui aiment toucher à tout et qui sont passionnées par internet et le blogging. Cet assistant virtuel des temps modernes doit être polyvalent, curieux et digne de confiance.

J’arrive enfin à la fin de cet article laborieux. J’espère que vous aurez appris des choses et je rêve même qu’il vous ait donné quelques idées de projets. Travailler de chez soi change véritablement la donne et nous ne pouvons que vous encourager à sauter le pas. Voulez vous faire partie de Celles Qui Osent en vous lançant vous aussi sur le web ?!

LF

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